Aujourd'hui, zoom sur Short n’ Sweet,
le 6ème album de Sabrina Carpenter (que j’attendais avec une grande
impatience) !
Aujourd'hui, je suis particulièrement
ravie de vous parler de The Sacred in the Ordinary, le tout premier
album de Bobbie.
J’ai découvert la musique de
Bobbie en juillet dernier, et ce fut un tel coup de cœur que je l’ai écoutée
tout l’été ! Avant de sortir son premier album, Bobbie (qui est aussi
autrice, compositrice et guitariste) avait déjà sorti un EP en 2019, An
Eligy For, ainsi que quelques autres morceaux. J’aime particulièrement les
titres Lost Arcadia, Solace, Old Mountain Music et Lifetime.
Malgré le fait que Bobbie soit parisienne, elle a la particularité de n’écrire et chanter qu’en anglais (et cela lui va parfaitement) ! De style Americana (mélange de musiques traditionnelles américaines, comme la folk, la country, et la soul), ses chansons s’inspirent de Joni Mitchell, Bob Dylan, Johnny Cash, Emmylou Harris ou encore de Dolly Parton, que Bobbie a découverts lors d’un voyage d’étude en Australie.
Ses morceaux intimistes, nostalgiques tout en étant très solaires me parlent beaucoup, et j’adore ce style musical qui je trouve n’est pas assez populaire en France. A travers ses titres, Bobbie transmet sa sensibilité, mais sans en faire des tonnes. Il faut noter que l’orchestration de ce premier album est particulièrement riche, incluant notamment des cuivres, de l’orgue et des chœurs gospel ! Cet album a un petit côté retro que j’apprécie énormément, tout en étant d’une grande justesse.
Même si musicalement, The Sacred in the Ordinary est une vraie pépite à écouter sans modération, il ne faut pas pour autant négliger la qualité de l’écriture des morceaux ! Dans le titre The Sacred in the Ordinary, Bobbie célèbre les choses ordinaires de la vie quotidienne qui nous font du bien. Nous avons tous des petites choses dans notre vie pour lesquelles nous pouvons être reconnaissants car ils contribuent à notre bonheur. Cela se rapproche plus de la mentalité anglosaxonne, cette gratitude qu’il ne faut jamais oublier. Back home parle du fait que nous avons tous un endroit où on se sent parfaitement bien, comme si toutes les planètes étaient alignées pour faire notre bonheur ! Dans Jupiter, la chanteuse parle de l’importance de poursuivre ses rêves malgré les obstacles que l’on peut rencontrer en chemin.
Parmi mes chansons favorites de ce magnifique album figurent Last ride, They don’t show it in movies, The Sacred in the Ordinary, Jupiter, Back home ou encore Nothing ever lasts (mais c’est difficile de faire un choix car tout l’album est incroyable) ! Selon moi, nous avons tous besoin d’écouter The Sacred in the Ordinary, qui est un album rayonnant qui nous fait du bien !
Avant
de terminer, je souhaite vous partager certaines reprises que Bobbie a faites sur
sa chaine YouTube (comme Always Remember Us This Way, Moon River, Jolene,
Blue Skies, River…), qui sont incroyables !
Bobbie est définitivement l’une
de mes plus belles découvertes musicales de 2024 (avec Maisie Peters). Je ne
peux que vous conseiller d’aller vite écouter son premier album. Le style musical
de Bobbie change de ce que nous avons l’habitude d’écouter en France, et j’espère
qu’elle saura trouver son public en France car ce serait amplement mérité. En
résumé, The Sacred in the Ordinary est un album solaire dont nous avons tous besoin dans notre vie !
Aujourd’hui,
je suis très heureuse de pouvoir vous parler un peu de The Secret
of Us, le dernier album de Gracie Abrams.
Aujourd'hui, parlons un peu de
HIT ME HARD AND SOFT, le dernier album de Billie Eilish, âgée de seulement
22 ans !
L’année dernière, durant notre
semaine à New York, nous avons profité de notre séjour pour visiter l’exposition
temporaire Taylor Swift : storyteller (au musée Museum of
Arts and Design, tout près de Central Park), qui démontre comment Taylor Swift,
l'une des autrices-compositrices les plus
prolifiques de l'histoire, a su se réinventer artistiquement grâce à la mode au
fil des années !
Aujourd'hui, parlons un peu de Cowboy
Carter, le dernier album de Beyonce ! En vérité, cela fait des
semaines que je voulais vous en parler, mais impossible faute de temps.
Évidemment, ce nouvel album de Queen Bey a fait beaucoup parler de lui à sa
sortie, mais j’ai l’impression qu’il a déjà été oublié…
Aujourd’hui, je vous emmène en
promenade sur la High Line, qui est un parc urbain suspendu, aménagé
sur une portion (2,3 km)
désaffectée des anciennes voies ferrées aériennes du Lower West Side à
Manhattan. Nous avons eu l’occasion de nous y rendre dès notre arrivée à New
York durant mes vacances avec des amis l’année dernière. C’est un endroit que j’affectionne
particulièrement car je m’y sens bien (j’avais pu le découvrir pour la premièrefois en 2015) !
Comme vous le savez, la semaine
dernière, je
vous avais donné mon avis détaillé sur le magnifique album The Tortured
Poets Department The Anthology, le 11ème album studio
de Taylor Swift, et j’avais décrypté les 16 premiers morceaux de ce nouvel
album (dont une majorité ont été co-produits par Jack Antonoff). Aujourd’hui,
je vous propose de décrypter les 15 chansons additionnelles de cet album, qui
pour la plupart ont été co-produites par Aaron Dessner (à l’exception de The
Black Dog, imgonnagetyouback et I Look in People’s Windows) !